Immigration
Squattée par des migrants, la Gaîté Lyrique ferme ses portes malgré 3,2 millions d’euros de subventions par an

Le 10 décembre dernier, la Gaîté Lyrique, fleuron des cultures numériques et contemporaines à Paris, était envahie par près de 300 jeunes migrants isolés, exigeant des solutions d’hébergement immédiates. Dans un précédent article, nous avions alerté sur les conséquences de cette occupation pour l’établissement, alors en sursis. Hier, le couperet est tombé : la Gaîté Lyrique a fermé ses portes au public, incapable de concilier sa mission culturelle avec une crise sociale qui l’asphyxie. Un lieu pourtant tributaire des subventions de la Ville de Paris, qui couvrent une part significative de son budget annuel. Il est temps d’interroger cet échec coûteux : comment en est-on arrivé à sacrifier 3,2 millions d’euros de subventions pour un lieu paralysé et vidé de sa mission ?
Un lieu pris en otage
Depuis le 10 décembre, la Gaîté Lyrique est devenue le théâtre d’une mobilisation portée par le Collectif des Jeunes du Parc de Belleville, composé de migrants se déclarant mineurs isolés. Ces derniers dénoncent un manque de solutions d’hébergement et des délais administratifs qu’ils jugent déraisonnables. Mais derrière cette occupation se cache une prise de position plus radicale.
Dans le hall, les murs et les poteaux sont recouverts de tracts militants, comme le rapporte Le Figaro. L’une de ces banderoles soutient que « Des places il y en a pour loger tous les MENA (mineurs étrangers non accompagnés) ». Une cagnotte en ligne a également été ouverte, tandis que le collectif déclare : « Avec le soutie
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1 commentaire
vert10
Les intermittents vont pouvoir glander.....au frais du contribuable. Et les spectateurs bobos gauchistes allez sur Netflix
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