Société
Crépol : des suspects relâchés de prison, le tueur de Thomas Perotto toujours pas identifié par les enquêteurs

Seize mois après la tragédie de Crépol, où Thomas Perotto a perdu la vie lors d'un bal du village, la justice peine à identifier formellement l'auteur du coup fatal. Pourtant comme le révèle Le Dauphiné, à Romans-sur-Isère, un nom circulerait sur toutes les lèvres, mais personne n'ose le prononcer officiellement. L'omerta règne, freinant les investigations en cours.
Le tueur de Thomas toujours non identifié
Malgré la mise en examen de 14 personnes pour homicide volontaire et tentative d’homicide volontaire en bande organisée, l’auteur du coup de couteau mortel demeure inconnu de la justice. Les conditions de l’enquête sont particulièrement difficiles : l’incident s’est produit de nuit, dans un lieu faiblement éclairé et devant plusieurs centaines de personnes, rendant l’identification formelle d’un suspect ardu.
Certains évoquent qu’un couteau aurait été jeté dans l’Isère juste après les faits, compliquant davantage la recherche de preuves tangibles. Pendant ce temps, des proches des mis en examen implorent leurs fils de parler, redoutant que des innocents ne soient condamnés pour des actes qu’ils n’ont pas commis.
Des suspects qui refusent de « balancer »
Dans le quartier de La Monnaie, le silence est de mise. Toujours selon des informations du Dauphiné, un des suspects principaux, C.A., incarcé depuis la première vague d’interpellations, refuse de collaborer. Lors d’un appel téléphonique avec sa mère en décembre 2023, il aurait affirmé : « Mais non, jamais ! Je ne suis pas une balance, t’es fou maman ».
Malgré les accusations portées contre lui sur les réseaux sociaux et les témoignages recueillis, il nie toute implication directe dans le meurtre de Thomas Perotto. Il reconnaît avoir participé à des altercations violentes cette nuit-là, mais refuse de porter la responsabilité du coup fatal.
Des remises en liberté face à l'omerta
Récemment, l’un des mis en examen a été libéré sous bracelet électronique et assigné à résidence dans l’Hérault, avec interdiction de retourner dans la Drôme. Lors de ses auditions, il aurait nié toute participation aux violences, affirmant avoir quitté la fête au début des tensions. Pourtant, il aurait fait demi-tour après avoir pensé à ses amis restés sur place.
Selon ses déclarations, c'est en revenant sur le parking qu'il aurait tiré en l'air avec un revolver chargé de balles à blanc, espérant « calmer les affrontements ».

3 commentaires
Irrefragable
Ceux qui refusent de collaborer devraient être condamnés, aussi sévèrement que des meurtriers. En effet, leur silence complice témoigne d'une connivence certaine avec le tueur. Ils sont fidèles à leur tribu, avant tout. Cette affaire démontre encore une fois que le vivre-ensemble est un mythe. Il y a des millions d'individus qui n'ont de français que les papiers, ils vouent une haine farouche au peuple français autochtone, méprisent ses us et coutumes tout comme ses traditions. Ils se permettent même de venir faire leur loi, dans les églises catholiques (malgré les 900 mosquées et les 2600 lieux de prière mulsumans sur le sol français). Ils exigent que les instances sportives plient le genou devant eux . Ils deviennent de plus en plus insolents dans les espaces publics comme les écoles, ou l'Assemblée nationale. La sphère afro-arabo-mulsumane mène une guerre de conquête en France, malheureusement beaucoup de français refusent de regarder la réalité en face. Pourtant si rien n'est fait, il y aura une opposition frontale entre les deux civilisations concurrentes présentes sur le territoire français. Alors les aveugles d'aujourd'hui constateront avec effroi, que la menace ne se restreint pas à une "petite minorité". Ils verront avec stupéfaction, que ceux qui ont toujours fait "l'amalgame" avaient raison depuis le début.
vert10
La remigration droit être rendue désirable par des incitations de toutes sortes
SapereAude
Si l’État déclare faire la guerre contre le narco traffic, slors est il légitime de penser que ça justifie de déclarer la loi martialle sur les territoires connus pour être impliqués dans ces traffics, et donc de pouvoir aussi utiliser tous les moyens d’interrogation qui s’imposent dans cette situation ?
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