Politique
« Prévenir les masculinités politiques » : l’UE finance un projet woke à hauteur de 3 millions d'euros, provoquant la colère de Céline Imart

L’eurodéputée Les Républicains (LR) Céline Imart a dénoncé ce 19 mars un nouveau délire idéologique financé par l’Union européenne. Elle fustige le projet « MEN4DEM », à 3 millions d’euros, ponctionnés dans le programme Horizon Europe pour permettre à l’université d’Amsterdam de « prévenir les masculinités politiques ». Pour l’élue de droite, ce projet représente explicitement une dérive wokiste.
L'élue LR ajoute que « Sous Ursula von der Leyen, l’UE s’est transformée en machine à subventionner les lubies gauchistes pendant que les Français et les Européens triment sous l’inflation et l’insécurité ». Cette dernière estime que ce n’est pas un simple dérapage, mais la preuve d’une prise en otage des institutions par une idéologie progressiste déconnectée des vrais problèmes. « Pendant que nos frontières sont des passoires, que nos industries s’effondrent et que Poutine menace l’Est, Bruxelles préfère financer des études sur la masculinité. C’est une insulte aux contribuables ! », martèle-t-elle.
Céline Imart réclame la suspension immédiate de ce financement et une révision complète des priorités budgétaires de l’UE. « L’argent des Français ne doit pas servir à payer des universitaires néerlandais pour rééduquer les hommes ou déconstruire nos valeurs. On veut des usines, pas des délires woke ! », lance-t-elle, en écho aux préoccupations d’une droite qui voit dans ces initiatives une menace à l’identité européenne.
Un projet qui divise
Face à cette gabegie, les défenseurs du projet progressistes défendent un projet d’égalité et d’innovation. En revanche, Céline Imart et ses soutiens, y voient plutôt une tentative d’imposer un agenda féministe radical au mépris du bon sens.
Pour elle, le message est clair : « Si l’Europe veut survivre, elle doit arrêter de dilapider nos impôts dans ces chimères idéologiques et se recentrer sur la défense de nos nations et de nos peuples. » Une bataille qu’elle promet de continuer au Parlement européen.
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2 commentaires
Guillaume
Un énième projet de castration des peuples européens, financé par les européens sans leur consentement. Et ils vont faire les étonnés quand la guerre civile aura atteint le point de non retour.
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