Société
Laurent Obertone : « La démocratie est la forme la plus aboutie de la tyrannie »

Cet article est issu de notre nouveau magazine Trump, l'homme à abattre, à retrouver dans tous les kiosques et sur notre site Internet !
Vous développez l'idée d'une « secte » sans chef apparent qui contrôle le monde. Vous avez une approche anti-complotiste du complot, pourtant : s'il n'y a pas de chef, dans une telle structure, quelqu'un doit bien donner des ordres, qui décide quelles idées seront mises en avant et défendues ?
La machine n’a pas besoin d’ordres, c’est ce qui fait sa force. Chaque rouage humain s’efforce de montrer son petit pouvoir, d’aller un peu plus loin que ses collègues. Jocelyne qui vous dit que la « diversité est une chance » n’a rien inventé, elle ne fait que régurgiter un contenu sectaire, martelé sur tous les écrans depuis des décennies. S’attribuer de telles inepties est suffisant pour s’imaginer une pensée, un devoir et une identité. Ce tropisme gauchiste a longtemps été payant, puisqu’il vouait à la mort sociale quiconque s’y opposait.
Je sais que les amateurs d’explications simples adoreraient que tel congrès secret de lézards se réunisse pour nous nuire, mais la force d’une secte repose avant tout sur l’état d’esprit de ses adeptes, envoûtés par des idées, une foi radicale, que le banc de sardines nommé « opinion » suit par peur ou effet de mode, pour ne pas se faire remarquer.
Les activistes vont toujours plus loin dans le sectarisme, pour se démarquer de la concurrence ; les États et intérêts particuliers récupèrent ce qui peut nourrir
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