On assiste depuis peu à des manifestations médiatiques qui, en temps normal, auraient suscité l'indignation de tous. La mort de Jean-Marie Le Pen, héraut de la droite nationale française, a été l'occasion pour certains médias de se livrer à des pratiques journalistiques déshumanisantes. BFM TV, par exemple, n'a pas hésité à interroger Jany Le Pen, la veuve de 92 ans, en larmes, étourdie par l'annonce du décès de son mari, devant le portail de chez elle, tandis que Paris Match a publié une photo volée de Marine Le Pen en pleurs à l'annonce du décès de son père.
La Déshumanisation par la Presse
Ce comportement de la presse de gauche, si on peut le qualifier ainsi, semble indiquer un mépris pour l'humanité des personnalités de droite. En déshumanisant leurs "ennemis", elle ouvre la voie à des comportements de plus en plus extrêmes, allant de la moquerie à la justification de la violence, voire du meurtre. Cette déshumanisation est dangereuse car elle fait écho aux pratiques des régimes totalitaires qui ont marqué l'histoire du XXe siècle.
Quelques exemples Historiques :
En Russie staliniste, la déshumanisation a justifié les purges massives.
En Chine sous Mao, la Révolution culturelle a été marquée par les meurtres de ceux perçus comme des ennemis du régime et des dizaines de millions de morts.
Au Cambodge sous Pol Pot, le génocide des intellectuels et des opposants politiques a été fondé sur une idéologie qui ne voyait pas l'autre comme humain.
À Cuba sous Fidel Castro, des milliers de personnes ont été emprisonnées ou exécutées pour des raisons politiques.
Les Conséquences d'une Idéologie Criminelle
Le communisme, responsable de près de 100 millions de morts à travers le monde, n'est pas une série de tragédies isolées, mais l'expression d'une idéologie criminelle intrinsèque. Cette idéologie continue de prospérer, non seulement en France mais partout dans le monde, souvent sous couvert d'une rhétorique progressiste.
Vers un Procès de l'Extrême Gauche
Il est temps de réfléchir à une forme de Nuremberg pour l'extrême gauche, un moment de responsabilité et de jugement pour les actions passées et présentes qui découlent de cette idéologie. Comme on l'a fait pour juger les crimes nazis, il faut examiner les crimes du communisme avec la même rigueur et la même détermination. Sans cela, nous nous exposons à voir se répéter les erreurs du passé, avec les mêmes conséquences tragiques.
La manière dont certains médias ont traité la mort de Jean-Marie Le Pen n'est pas seulement une question de sensibilité ou de respect pour le deuil. C'est un symptôme d'une culture politique où la défaite morale est préférée à la dignité humaine. Cette attitude doit être dénoncée et combattue, non seulement pour le respect des défunts et de leurs proches, mais aussi pour prévenir de futures dérives totalitaires qui pourraient surgir de cette logique de déshumanisation.
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