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Tensions entre l'Ukraine et les Etats-Unis : Volodymyr Zelensky invité à quitter la Maison Blanche après un échange houleux avec Donald Trump
Les relations entre les États-Unis et l’Ukraine connaissent un moment de forte tension après une rencontre houleuse ce vendredi 28 janvier entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky. Devant la presse, dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche, les échanges ont été marqués par des divergences profondes et une atmosphère particulièrement tendue.
Donald Trump n'a pas mâché ses mots en déclarant qu'il serait « très difficile » de négocier avec Volodymyr Zelensky, l'exhortant à faire preuve de reconnaissance et affirmant que le dirigeant ukrainien s'était placé « en très mauvaise posture ». Le ton s'est durci lorsque le président américain a interrompu Zelensky en lui lançant qu'il avait « assez parlé ». JD Vance, vice-président des États-Unis, a également pris part aux reproches, accusant Zelensky de « manquer de respect » aux États-Unis.
Désaccords sur la question des compromis
Au cœur des tensions, la position de Volodymyr Zelensky face à la Russie. Le président ukrainien a rejeté tout compromis avec Vladimir Poutine appelé « le tueur », une déclaration qui a suscité une mise en garde immédiate de Donald Trump. « Il n'y a pas d'accord sans compromis. Il est donc certain qu'il devra en faire », a affirmé le président américain, tout en espérant que ceux-ci ne soient "pas aussi importants que certains le pensent".
Volodymyr Zelensky a insisté sur la nécessité pour Washington de garantir la sécurité d'une future force de maintien de la paix en Ukraine, avertissant que la Russie pourrait s'en prendre aux pays Baltes si elle n'était pas arrêtée. Malgré cet appel, Donald Trump est resté évasif sur cet engagement, laissant planer l'incertitude sur le soutien américain à long terme.
Annulation d’événements et absence d'accord final
À la suite de cette altercation, Volodymyr Zelensky a annulé plusieurs apparitions publiques à Washington, notamment à l'Institut Hudson. Aucun accord officiel n'a été signé ce vendredi soir entre les deux dirigeants, Donald Trump affirmant qu'un tel engagement dépendrait de la volonté de l'Ukraine d'adopter une approche « constructive ». Un responsable américain a précisé qu'il revenait aux Ukrainiens de décider si la conférence de presse conjointe annulée pouvait être reprogrammée avant le départ de Zelensky des États-Unis.

8 commentaires
SapereAude
Dans la foulée, entrevue de Tulsi Gabbard, Directrice des services de renseignement, qui dit à peu près ceci : “Le plus grand danger pour les US c’est le terrorisme islamiste, que la politique de Biden a laissé rentrer chez nous [avec sa politique de frontières ouvertes - immigration de masse]. Comme ils avaient peur d’être traités d’ « islamophobes », ils ont détourné les resources nécessaires pour lutter contre ce danger, et ils ont financé des organisations qui menacent directement la sécurité de nos concitoyens.”. Megyn Kelly explique aussi un fait sur l’agence Associated Press (AP) qui s’est fait viré de la salle de presse de la Maison Blanche, que comme l’Agence France Presse (AFP), ils refusent d’utiliser les mots “terroriste” et “islamique” dans leurs communiqués… [ source : https://youtu.be/V6r8pL2cgwA ]
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Je conçois que pour les journalistes et chroniqueurs français, les manières de Trump ne soient pas assez raffinées et que son langage ne soient pas assez châtié. Cependant, le rôle d'un président ce n'est pas de plaire à des pseudos esthètes progressistes allergiques à toute forme de virilité, mais de défendre les intérêts de sa nation. En substance, Donald s'est contenté de rappeler au pitre ukrainien qui est vraiment le capitaine à bord du navire. Donald (aussi dur en affaire que Picsou) a aussi jugé bon de rappeler à Zelensky qu'il n'a plus de "cartes en main", histoire de lui faire comprendre que, tout allait se faire selon des modalités propres, à satisfaire les intérêts américains. Lorsqu'on la compare à la fermeté de Trump, la faiblesse et la lâcheté de Jupiter paraissent d'autant plus coupables. Pendant que l'Oncle Sam joue au shérif et impose sa volonté à ses "collaborateurs", la France tremble devant des pays du tiers-monde comme l'Algérie. Le gouvernement envisage la possibilité d'éventuellement songer à dénoncer les accords de 1968 avec l'Algérie, dans 6 semaines.
Signaler un abusPATALABOLO
Nous allons faire des économies,et peut-être retrouver un pouvoir d’achat normal…Je précise bien ;peut-être !
Signaler un abusdavid.soudant30@gmail.com
Quel honte de traiter ainsi un homologue, un autre chef d'état, et de faire la moral alors que Jamais ils ont été en Ukraine !!! Ils reprenne à 2 le discours de poutine !!! Scandaleux d'inverser la charge des responsabilité. Oui Trump est un agent des russe et ça date de plus de 4 0 ans en arrière !! Beaucoup de preuve sur ces liens avec la Russie Urss, de l'époque qui l'ont approché. Tout est documenter, vidéos, photos. Dire le contraire, c'est n'avoir jamais vérifier et juste répéter aveuglement le discours poutinien et Trump. Peut être que frontière pourrais faire une enquête sur les lien de Trump avec la Urss et Russie après sa 1ere banqueroute ou la seconde.. À. Vérifier. J'ai un doute sur ça... Même si je suis un homme de droite, je suis contre la Russie et sa politique agressive sous poutine !! Défendre poutine s'est être criminel quand on s'est tous les crimes qu'il a commis et ordonné !!! Bine sur que l'Ukraine est pas toute blanche mais au moins elle veux s'écarter de 'influence de la Russie et Trump cherche à l'enfoncer !!! Jusqu'à mentir sur les conscrit alors que c'est poutine qui a dit qu'il 'es ferais pas en 1ere ligne, hors ils servent en 1ère ligne pour épuiser munition des ukrainien !!! D'où tous ces mort russe... Trump devrais vérifier, se documenter, demander à sun équipe de tous vérifier au lieu de boire les paroles de poutine. Hallucinant se voir ça. Autant sur l'immigration je suis d'accord, sur son pays en 1er, sur la valeur travail, famille, patriote, sécurité, défense, je suis d'accord avec. Mais sur l'Ukraine je le déteste. Et ça façon de diffamer les gens de dévoiler des secret d'une enquête qui n'est pas fini ou que les gens ont pas été inquiéter par justice, jeter e pâture des noms de gens, comme ça, juste car ils ont été chez ce pédophile... Sans le défendre, ils oubli que ce pédo été producteur etc... Donc normale que des gens du cinéma et autres allez chez lui, non ? Ou est ce moi qui est pas normal et que du coup, piétiner une enquête, la justice c'est bien ? Il fait ce qui est reprocher au sale gauchiste !!! À la rigueur si ils faisait à des gauchiste, pourquoi pas, pour leur montrer ce que c'est de subir leur tactique, technique... Bref.
Signaler un abusRenaudineau
J'avoue ne pas comprendre l'attitude de Trump, ni celle de son vice-president, sur l'Ukraine. Zelinsky ne cherche pas la paix ? Faut-il rappeler que l'Ukraine ne voulait pas non plus la guerre. Vouloir imposer à l'Ukraine un traité de paix, sans que ces derniers (ni même l'Europe) ne soient présent, ne fera que deux vainqueurs. Et juste deux. La Russie et les USA.
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@davidsoudant30@gmail.com La géopolitique n'est pas une affaire de morale ou de vertu, mais une affaire de rapport de forces. Il n'y a pas de "camp du bien" et de "camp du mal", chacun cherche son intérêt tout simplement. Et l'intérêt de la France,me semble-t-il,c'est de cesser gaspiller un pognon de dingue pour une guerre qui ne la concerne pas et dans laquelle, elle n'a aucun intérêt stratégique à défendre. Donald a été factuel en rappellant à Zelensky, qu'il n'a pas les cartes en main et que l'Ukraine est en très mauvaise posture, plus personne ne le nie maintenant, y compris les "anti russe'' primaires. Je vous conseille, du reste, l'interview sur Frontières du 20/02/2025 avec Alexandre del Valle.
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@Renaudineau, au début de votre commentaire vous avez prétendu ne pas comprendre pourquoi Trump s'est comporté ainsi, alors qu'à la fin vous montrez qu'au contraire, vous avez déjà tout compris. Oui, tout porte à croire que les USA et les Russie, seront les deux seuls gagnants de cette guerre. L'Ukraine n'a été qu'un faire-valoir, depuis le début. C'est ça, le 'réel" en dehors des narratifs moralisateurs qu'affectionnent particulièrement Macron et compagnie. Les ukrainiens ont été de façon particulièrement cynique sacrifiés pour des intérêts étrangers. D'un point de vue strictement moral, on pourrait dire qu'effectivement les USA ont fait preuve vis à vis de l'Ukraine d'une certaine malhonnêteté et d'une grande duplicité. Mais les américains ont toujours agi ainsi à ma connaissance. De la même façon que Poutine n'hésite pas à placer ses pions pour porter atteinte aux intérêts français sur le continent africain, ou était intervenu jadis en Syrie contre la coalition que formaient les USA et la France notamment (sauf erreur de ma part).
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