La Gaîté Lyrique, occupée depuis trois mois par plus de 400 migrants, ferme ses portes, face aux violences et à l’inaction des autorités.

Macron refuse de remettre en cause les accords de 1968 avec l’Algérie, désavouant Bayrou et Retailleau en pleine crise diplomatique.

Hier soir avait lieu la cérémonie des Césars 2025, une cérémonie marquée par des discours politiques progressistes et un palmarès éloigné du succès populaire.

Cindy Léoni, ancienne présidente de SOS Racisme, a été nommée sous-directrice à la sécurité civile. Ce choix interroge dans le paysage politique.

Le ministre François-Noël Buffet a exprimé son intention de poser la question de la déchéance de nationalité de Rima Hassan après ses propos sur le Hamas. Cette déclaration intervient après que la députée européenne LFI ait affirmé que l’action du Hamas est « légitime du point de vue du droit international ».

Ce samedi 1er mars, le collectif "Justice pour les Nôtres" organise une manifestation contre l'insécurité et le laxisme judiciaire à Paris. Partant du Panthéon, les manifestants comptent interpeller les pouvoirs publics et dénoncer l'inaction des responsables politiques.

Les hautes sphères gardent un œil attentif sur la montée du libertarianisme, ce vent d’émancipation qui dépasse désormais les cercles d’initiés. Moins d’État, plus de libertés : un discours qui trouve un écho grandissant, au point d’attirer l’attention du pouvoir.

L’autorité de régulation pensait pouvoir sanctionner sans contestation. Mais après avoir porté plainte contre Frontières pour une simple intrusion journalistique, elle a discrètement fait marche arrière.

L’eurodéputée LFI Rima Hassan a déclenché une tempête politique en justifiant l’action du Hamas au nom du droit international. Tandis que Bruno Retailleau et David Lisnard dénoncent une « apologie du terrorisme », la députée persiste et assume sa ligne.